C’est tout d’abord un désir de montagne, d’aventure… Né d’une rencontre, d’une histoire, d’un regard, d’un rêve… Ensuite, il y a cette inquiétude mêlée à cette envie de hauteur, il y a cette volonté d’engagement troublée par la conscience de son inexpérience. Il y a enfin, la rencontre de celle ou celui qui vous ouvrera la voie d’un monde austère et magnifique.

Ce guide sera tantôt devant, tantôt à vos côtés pour assurer vos pas et permettre de vous surpasser sportivement comme dans la relation de confiance avec ceux qui suivent le même chemin. Partir avec un guide, c’est « un temps suspendu » d’une intensité rare où se mêlent avec bonheur, aventures individuelles et plaisirs partagés.

Les compétences du guide

Le guide de haute montagne est non seulement celui qui montre le chemin, mais il est aussi celui qui apprend à le choisir, grimpe à vos côtés, et vous enseigne les techniques nécessaires pour évoluer en montagne. Seul le guide de haute montagne diplômé d’état est habilité à initier, à encadrer et à conduire des amateurs, en excursion ou en ascension (sur rocher, falaise, glace ou terrain mixte), en haute montagne, au travers différentes techniques sportives (alpinisme, ski de rando, cascade de glace, escalade…etc). Quels que soient la technique sportive et l’itinéraire choisis, le guide de montagne veille en permanence à la sécurité de ses clients. Nourri de la culture et de l’histoire de la montagne, il est le passeur d’une culture, d’une connaissance et du respect de la nature et de la montagne.

Un guide est en général un travailleur indépendant, il recrute sa clientèle à titre individuel ou par l’intermédiaire d’un Bureau de guide dont il est membre. Il peut aussi louer ses services à une structure commerciale ou agence. Quelques-uns sont salariés d’associations de loisirs . Les activités se pratiquent collectivement ou à l’engagement, pour quelques heures en école d’escalade, une course d’une journée, un stage d’une semaine ou un trek au long cours.

Partir avec un guide peut se concevoir pour débuter une activité de montagne comme pour envisager de grandes courses sur des sommets prestigieux. Il se fait payer en honoraires, sous forme d’un tarif par activité, à la course ou au forfait sur plusieurs jours. Ses frais de nourriture, d’hébergement et de transport sont généralement à la charge du client. Le guide est soumis à une obligation de moyens régie par la loi inscrite au Code des sports et à l’observation du code de déontologie de la profession.

Quelques chiffres

En 2012 : 1810 adhérents dont 1540 guides actifs.
Parmi eux, environ 55 % travaille de manière indépendante, et le reste au sein des 63 Bureaux et 15 Compagnies.

LE SNGM

Le Syndicat national des guides de montagne

Le Syndicat national des guides de montagne (SNGM), dont le siège est à Francin (Savoie), regroupe la quasi-totalité des guides de haute montagne en France.
En tant que syndicat professionnel il est régi par la loi de 1884.
Il négocie une assurance responsabilité civile professionnelle de groupe pour le compte de ses 1800 adhérents, organise la profession et la représente auprès des instances et des partenaires institutionnels.
Il assure également une mission d’organisation de la formation continue obligatoire des guides.
Créé en 1945, sous l’impulsion d’Armand Charlet, il fêtera en 2016 ses 70 ans.

Le Syndicat national des guides de montagne regroupe à la fois les guides individuels et les associations de guides (Bureaux et Compagnies de guides).
– En 2012 : 1800 adhérents dont près de 1600 guides actifs.
– Parmi eux : environ 55 % travaille de manière indépendante, et le reste au sein de Bureaux et Compagnies.

le massif des ecrins

Le massif des Ecrins: un des plus vastes des massifs glaciaires des Alpes

Au cœur des Alpes françaises, à la frontière entre les Alpes du Sud et les Alpes du Nord unissant l’Isère et les Hautes-Alpes, le massif des Ecrins est « un paradis sauvage fait pour le bonheur des hommes, des fleurs et des bêtes » disait Gaston Rébuffat, (un alpiniste français, notamment membre de l’expédition française à l’Annapurna de 1950). En accord avec cette définition, le Massif constitue avant tout, pour les guides et tous les amateurs d’alpinisme, un terrain de jeu et d’aventure inégalé.

le massif des Ecrins
C’est également le premier massif cristallin (composé de roches du type gneiss et granites) français par la superficie (5 fois le massif du Mont Blanc). Son exceptionnelle richesse botanique, faunistique et géologique a conduit, en 1973, à la création du Parc National des Ecrins, le plus grand de France (91800 hectares), ce qui permet de bénéficier d’un environnement pleinement préservé. Le Parc national des Ecrins, a été consacré par le conseil de l’Europe parc européen de haute montagne.

Le massif des Ecrins forme un massif d’un seul tenant (2710 km2), culminant à plus de 4000m, incluant 150 sommets de plus de 3000m, dont environ 50 de plus de 3500m et un très important système de glaciers de plus de 9000 ha, le troisième en France. Son point culminant est à 4 102 m : la Barre des Ecrins. Au total 11 000 ha de glaciers ont façonné 7 profondes vallées.

Vaste et aéré, sauvage, voire secret, il constitue un pôle d’intérêt indéniable en matière d’alpinisme avec des sommets prestigieux comme la Barre des Ecrins (4102 m), la Meije (3983 m), le Pelvoux (3943 m), l’Ailefroide (3954 m), les Bans (3669 m), l’Olan (3564 m) et bien d’autres… Les zones d’altitude comportent encore de gros appareils glaciaires tels ceux des glaciers Blanc, Noir, du Tabuchet, de la Pilatte… Les approches y sont souvent longues, le traditionnel refuge étant une étape conviviale souvent indispensable.
le massif des Ecrins

Si l’on sait souvent qu’il est le second massif des Alpes françaises par l’altitude (4102 m à la Barre des Ecrins), on ignore bien plus fréquemment qu’il se classe premier par l’étendue de ses glaciers (100 km2, environ 5 km3 de glace soit 4 fois le volume de la retenue de Serre-Poncon), devant le versant français du massif du Mt Blanc (90 km2). C’est également le premier massif cristallin (composé de roches du type gneiss et granites) français par la superficie (5 fois le massif du Mont Blanc). Son exceptionnelle richesse botanique, faunistique et géologique a conduit, en 1973, à la création du Parc National des Ecrins, le plus grand de France (91800 hectares), ce qui permet de bénéficier d’un environnement pleinement préservé. Sa forme, schématiquement, est celle d’un fer à cheval ouvert en direction de l’Ouest Nord-Ouest sur la vallée du Vénéon. Sur cette armature se greffent en direction de l’Est, du Sud et du Sud-Ouest de puissants rameaux secondaires tels, ceux des Agneaux, du Pelvoux et du Sirac.
Vaste et aéré, sauvage, voire secret, il constitue un pôle d’intérêt indéniable en matière d’alpinisme avec des sommets prestigieux comme la Barre des Ecrins (4102 m), la Meije (3982 m), le Pelvoux (3943 m), l’Ailefroide (3954 m), les Bans (3669 m), l’Olan (3564 m) et bien d’autres… Les zones d’altitude comportent encore de gros appareils glaciaires tels ceux des glaciers Blanc, Noir, du Tabuchet, de la Pilatte… Les approches y sont souvent longues, le traditionnel refuge étant une étape conviviale souvent indispensable.
massif des ecrins

Les itinéraires sont nombreux et très variés, de l’austère face nord (FN de la Meije, des Ailefroides, du Pic sans nom, de l’Olan ou du Pelvoux…), aux riantes faces sud où le rocher est une invite à l’escalade (aiguille de Sialouze, aiguille Dibona, tête du Rouget, face sud de la Meije, contreforts des Bans…), en passant par d’esthétiques courses de neige (Dôme des Ecrins, Roche Faurio, Grande Ruine, Meije Orientale…). Ou encore de superbes courses d’arête mixtes ou rocheuses ( la traversée de l’Olan, des Ailefroides, de la Meije…) ainsi que de nombreux couloirs et goulottes. Bref, une multitude de pics, d’aiguilles et de faces, requérant la plupart du temps un engagement sérieux en terrain d’aventure, mais également des escalades « plaisir », en paroi ou en falaises au soleil, équipées sur goujons, sans oublier de nombreuses voies normales et randonnées glaciaires, permettant au plus grand nombre l’accès à d’incomparables belvédères…

Au printemps (dès avril), les possibilités à ski alpinisme sont nombreuses et variées (Dôme de neige des Ecrins, 4015 m ; Grande Ruine, 3765m ; Roche Faurio, 3730m ; Dôme de Monêtier, 3478 m ; pic de Neige Cordier, 3614 ; les Agneaux, 3634 m ; Les Rouies, 3589m ; Pointe de la Pilatte, 3476m …) et de nombreux cols d’altitude permettent de remarquables itinéraires de type «haute route» (tour de la Meije, Traversée la Grave – Ailefroide ; tour des Ailefroides…).

Si l’on intègre les vallées et les massifs avoisinants, tels les Cerces, le Briançonnais, le Queyras ou le Dévoluy, le climat privilégié des Alpes du Sud permet alors une fréquentation exceptionnelle quasiment tout au long de l’année. La pratique de l’alpinisme débute au mois de mai, avec des courses de neige ou mixtes, des couloirs ou des goulottes, pour s’achever en octobre sur le rocher des faces sud; le ski de randonnée est en général possible de novembre à mai et l’escalade de mars à novembre.

 

Les vallées du massif des Ecrins

Les vallées de massif desz ecrins

 

Réussir ses premières flèches ski requiert un énorme travail et des entraînements rigoureux. Il y a tout un panel d’étapes à passer, une ligne à franchir et un chrono figé pour déterminer ses performances. Alors, faites-vous plaisir tout en améliorant votre niveau et en vous offrant vous-même un challenge.

Fixer ses objectifs dans la mesure du possible

Les différents paliers des flèches ski sont : fléchette (50 % à 55%¨du temps initial, établi par le moniteur-ouvreur), Flèche de bronze (de 45 % à 50 %), d’argent (de 40 % à 45 %), de vermeil (28 % à 40 %) et d’or (inférieur ou égal à 15 %). Sachez cependant, que la difficulté varie en fonction de la station, du stade de slalom, du jour ainsi que de l’ouvreur. De ce fait, fixez-vous un objectif qui reste réalisable pour vous en fonction de ces paramètres. Il est inutile de vous forcer dès le départ. Cela vous permet de vous surpasser et d’y voir plus clair à propos de vos capacités. Aussi, inscrivez-vous à l’épreuve et prenez une première valise afin de vous orienter.

Persévérer et garder espoir

Les ESF ou Écoles du ski français organisent une épreuve chronométrée communément appelée la Flèche depuis 1953. Notamment une à six fois par jour. Alors, n’accordez pas trop d’importance à votre résultat pour commencer. Gardez espoir et vous verrez que vous pouvez toujours réussir vos premières flèches ski. Mis à part cela, évitez de trop vous concentrer sur l’ouvreur. Partez skier, appréciez chaque moment et ne restez pas trop longtemps dans l’aire de départ. Une fois que vous vous trouvez dans le portillon, restez calme. Au départ, lancez-vous et libérez toute votre énergie ainsi que votre stress, si vous êtes stressé. Allez-y aussi vite que vous pouvez, passez toutes les portes et franchissez la ligne. Quand vous êtes à l’arrivée, vous allez entendre votre chrono et votre niveau de flèche. Qu’importe le résultat, si vous êtes déçu, réessayez le lendemain, si vous êtes content de vous, essayez d’établir un nouveau record.

Ne pas négliger les entraînements

Il existe diverses manières de vous entraîner par exemple en suivant un stage dans une école de ski. Pour s’améliorer en ski, le mieux est de tout de suite de skier et passer outre les théories. Ainsi, préférez les moniteurs vous font skier derrière eux peu importe les conditions. Sinon, vous pouvez également essayer de réussir votre Flèche seul, ou avec vos amis. Skiez librement en privilégiant la vitesse si vous êtes seul ou bien faites quelques compétitions entre amis. Votre objectif est tout simplement d’améliorer votre technique et votre conduite. Choisissez un spot similaire à celui où se passe la Flèche et apprenez à négocier parfaitement les virages, appréhender la vitesse, etc.

L’hiver peut être un bon moment pour profiter du plein air et pratiquer des sports d’hiver. Le snowboard est un sport d’hiver que beaucoup de gens aiment. Bien que le snowboard soit maintenant un sport olympique officiel, tout le monde peut apprendre à démarrer. En apprenant quelques-unes des idées de base, vous pourrez bien commencer la pratique du snowboard et profiter pleinement de votre première expérience sur les pistes.

Porter le bon équipement

Avoir le bon équipement est important quand il est temps pour votre pratique du snowboard. Grâce aux casques, les gens peuvent garder leur tête en sécurité aussi souvent que possible. Lorsque vous achetez un casque, essayez-en plusieurs et choisissez la taille et la forme qui vous convient le mieux. Les lunettes de protection sont un autre élément essentiel de l’équipement dont vous aurez besoin. Des lunettes de mauvaise qualité embueront, déformeront votre vision ou manqueront de lentilles appropriées pour protéger vos yeux du soleil de la montagne. L’un des meilleurs avantages des nouvelles lunettes est un champ de vision accru.

Si vous envisagez de faire du snowboard régulièrement, vous pouvez envisager d’acheter un sac à dos de snowboard. Celles-ci ont de la place pour vos bottes de snowboard, votre casque, vos collations et votre veste. Parce que vous serez dans la neige, vous aurez besoin de garder vos mains au chaud avec des gants. Votre veste et votre pantalon sont également importants pour vous garder au chaud et au sec. Recherchez des pantalons et des vestes résistantes à l’eau, de préférence imperméables.

Choisir sa planche

Lorsque vous commencerez votre pratique de snowboard, vous devrez choisir une planche qui vous convient. Cependant, vous n’avez pas besoin d’acheter une planche très chère en tant que débutant. Il vous faudra beaucoup de pratique avant de pouvoir remarquer la différence entre une planche de débutant et une planche d’experts. Si vous avez déjà la certitude de passer beaucoup de temps sur le snowboard, optez pour une planche de niveau moyen ou haut de gamme. Votre planche doit être de la taille qui vous convient avant d’en choisir un. La largeur de la planche doit être déterminée par la taille de vos chaussures et de vos fixations.

Apprendre à faire du snowboard

Apprenez le code de responsabilité du snowboarder et respectez-le lorsque vous commencez votre pratique de snowboard. Prenez au moins une leçon d’un instructeur qualifié. En apprenant avec un instructeur qualifié, vous comprendrez comment commencer et sur quoi travailler dans un environnement structuré et contrôlé. Le snowboard est une question de compétences et non de collines. Ce n’est pas à propos de la taille ou de la rapidité de la pente sur laquelle vous surfez. Ce qui compte vraiment, c’est le niveau de compétence que vous maîtrisez en surfant, même sur les pistes les plus simples.

Partir à la montagne ne s’improvise pas. Le temps change rapidement. C’est pourquoi les caprices météorologiques font partie intégrante des activités sportives de plein air. Devant cette situation, il est nécessaire de bien choisir votre vêtement d’alpinisme ou de randonnée.

Randonnée en montagne : pourquoi opter pour une veste imperméable ?

Comme évoqué ci-haut, le temps change vite en montagne. Pour ne pas être pris au dépourvu, il est judicieux de porter un vêtement imperméable. Comme son nom l’indique, la tenue imperméable ne laisse pas pénétrer l’eau. Elle vous permet ainsi de rester au sec sous une pluie diluvienne, sous une neige givrante ou encore sous une neige de grêle. Ce n’est pas tout, elle vous permet aussi de vous couper d’un vent glaçant en montagne. Et comme elle est généralement respirante, elle laisse la transpiration s’évaporer. Bref, la veste imperméable est synonyme d’une tenue de protection des amoureux de sport nature. Si vous pensez qu’elle se porte seulement lorsqu’il pleut ou qu’il vente, détrompez-vous. Vous pouvez également le porter en été. En effet, la tenue imperméable vous protège des intempéries en montagne, mais elle n’apporte pas de chaleur. Autrement dit, elle vous maintient au sec sans vous tenir trop chaud.

Comment bien choisir une veste imperméable ?

Plusieurs critères doivent être pris en compte pour bien choisir un vêtement imperméable pour la montagne. Premièrement, choisissez votre tenue d’alpinisme ou de randonnée suivant les conditions météo. Par temps chaud, c’est la respirabilité qui prime. Privilégiez les vêtements avec doublure flottante, avec zips d’aération sous les bras. Par temps froid, pensez à l’apport thermique de votre veste. Il existe des tenues à doublure chaude et des vestes de pluie. Mais quel que soit votre choix, privilégiez les vêtements avec poignets ajustables et avec gants. Ensuite, choisissez votre veste selon votre activité sportive. Si vous envisagez de faire des treks en itinéraire, optez pour une veste légère. Le mieux serait de porter un vêtement avec doublures soudées. Pour la montagne, choisissez une tenue qui vous assure une liberté de mouvement.

Où trouver une veste imperméable pour la montagne ?

Vous cherchez un vêtement imperméable pour vos aventures en haute montagne. Comme il y va de votre sécurité et de votre confort, il est prudent de bien choisir la qualité de votre tenue de sport. Pour éviter le pire, il est nécessaire de l’acheter auprès d’un grand fabricant, spécialisé dans les vêtements outdoor. De nos jours, on peut trouver une veste d’alpinisme en ligne. Vous n’avez pas à vous déplacer, il suffit de faire des recherches sur internet et le tour est joué. L’achat en ligne vous permet de gagner un temps précieux. Qui plus est, le service est disponible à tout le moment. Vous pouvez passer votre commande 24h/24, où que vous soyez.

Peu de sports d’aventure dans le monde sont aussi populaires que l’escalade. Cependant, comme pour toutes les activités de sports d’aventure, l’escalade comporte des risques et dangers potentiels. Néanmoins, vous devez vous assurer que vous avez pris toutes les précautions de sécurité nécessaires avant de frapper le rocher. Combinez les bonnes techniques, un bon entraînement et un équipement approprié, et l’escalade deviendra une activité suffisamment sûre. Voici quelques règles d’escalade qui vous aideront à contourner les dangers habituels de ce sport.

Choisissez le bon équipement

La première règle d’escalade et la plus importante est de bien choisir son équipement. C’est la toute première étape que vous devez franchir pour que votre parcours d’escalade soit un parcours sûr et agréable. Un équipement de qualité est essentiel à la sécurité de l’escalade et lorsque nous parlons d’équipement, nous entendons tout, harnais, cordes, tirages rapides, casques, chaussures ou tout autre équipement que vous envisagez de transporter. Assurez-vous que vous êtes à l’aise avec tout votre équipement personnel (chaussures, casque, etc.) que vous avez choisi pour le voyage. De plus, si vous avez des doutes quant à la qualité de l’un des équipements mentionnés ci-dessus, éliminez-le simplement et choisissez un produit qui vous satisfait totalement. Encore une fois, si l’escalade est un sport assez sûr, un équipement approprié et de qualité peut souvent faire la différence entre la vie et la mort. Donc, ne sous-estimez jamais cette partie du processus.

La communication est la clé

Lorsqu’il s’agit de règle d’escalade, une communication adéquate est essentielle pour la sécurité. Avant de frapper cette paroi rocheuse, il est nécessaire que vous et votre partenaire soyez sur la même page lorsqu’il s’agit de passer les bonnes commandes ou toute autre information vitale. Il est important que vous prépariez des codes entre vous pour communiquer. Bien sûr, la communication orale est idéale s’il y a peu de bruit pendant l’escalade. Toutefois, cela n’est pas tout le temps le cas. Votre site d’escalade peut être situé juste à côté d’une autoroute et les voitures vont noyer votre voix. Parfois, le bruit des rivières et des ruisseaux empêche également d’entendre ce que votre partenaire essaie de communiquer. Enfin, si vous n’êtes pas tout à fait sûr de ce que votre partenaire vient de dire, ne présumez pas. Au besoin, faites-le répéter autant de fois que nécessaire jusqu’à ce que vous sachiez exactement ce qu’il dit. Agir selon certaines hypothèses peut souvent entraîner des risques graves.

Méfiez-vous des roches et des débris

Enfin, vous devez toujours être à l’affût des chutes de rocher. Ceci est particulièrement pertinent si vous grimpez pendant la saison des pluies. La pluie adoucit le sol et il y aura plus de chances que des rochers meubles dévalent les pentes. Cela peut rendre votre activité d’escalade plus dangereuse. Donc, il est recommandé que si vous allez grimper pendant les mois de mousson, essayez autant que possible de choisir vos points de relais dans des endroits abrités. Assurez-vous également de vous contenter de lieux de rassemblement ou d’ancrage qui ne sont pas trop proches de la verticale ou d’une dalle comme une falaise.

Les hébergements pour des vacances au ski sont désormais nombreux. Une fois que vous aurez choisi votre domaine skiable, il vous reste à trouver un logement approprié dans les environs. Vous pouvez choisir le vôtre en fonction de vos goûts, mais aussi en tenant compte de votre budget et de vos besoins. Alors, parmi les multiples possibilités d’hébergement  mises à votre disposition, pour laquelle devriez-vous opter ?

La location d’appartement pour plus d’intimité

Si vous souhaitez profiter de plus d’intimité lors de vos vacances au ski, alors la location d’appartement est peut-être faite pour vous. Pour en trouver un qui soit à votre goût, mieux vaut passer par une agence immobilière qui saura vous dénicher la meilleure offre. De plus en plus de touristes sont aujourd’hui attirés par cette option, alors vous devrez vous y prendre assez tôt pour ne pas vous faire devancer. Assurez-vous toutefois que l’appartement que vous allez louer se trouve à proximité des commerces, car vous allez faire vous-même la cuisine. Il doit aussi se trouver non loin des différentes activités que vous allez pratiquer sur place. Si vous venez avec votre voiture, renseignez-vous  pour savoir s’il existe des places de stationnement aux alentours.

Les résidences de tourisme pour plus de confort

Pour profiter pleinement de vos vacances au ski, vous pouvez aussi vous orienter vers une résidence de tourisme. Ce type d’hébergement ski vous garantit des prestations touristiques de première qualité. Vous pourrez en trouver un dans la plupart des stations et domaines skiables. En réservant un appartement dans une résidence de tourisme, vous aurez droit à tout le confort dont vous avez besoin. Parmi les nombreux services pris en charge par ces professionnels, on peut citer le ménage, le wifi, le parking, etc. Mais, cela peut toutefois varier en fonction de l’hébergement que vous aurez pris. Vous n’allez en effet pas profiter de la même qualité de prestation pour un petit studio que pour un duplex.

Le chalet pour plus de convivialité

Si vous partez en vacances au ski en famille, alors peut-être devriez-vous orienter votre choix vers un chalet de montagne. Cette option est aussi envisageable si vous organisez des vacances de groupe entre amis. L’ambiance d’un chalet se prête parfaitement à une telle aventure. Vous allez apprécier de vous retrouver dans un décor typiquement montagnard. Vous pourrez faire la cuisine vous-même et organiser toutes sortes d’activités pour vous amuser. Les soirées, vous vous retrouverez devant un beau feu de cheminée pour conter vos aventures autour de quelques tasses de chocolat chaud. Bien que la location d’un chalet représente un investissement conséquent, en divisant le tarif par le nombre de vacanciers, vous ferez une très bonne affaire. Un chalet peut accueillir jusqu’à une douzaine de personnes.

Qui dit montagne pense tout de suite à la neige et au ski et les vacances d’été sont souvent associées au soleil et la plage. Sachez que les activités à la montagne sont extrêmement nombreuses et variées. Passer ses vacances d’été à la montagne est un choix souvent délaissé par la plupart des vacanciers. Pourtant, des températures idéales, des paysages paisibles avec une vaste activité au choix. Une vacance d’été à la montagne promet d’être surprenante. Alors, pourquoi ne pas changer de destination cette année et laissez-vous convaincre par la beauté de la nature. Voici une sélection d’activités a pratiqué en montagne durant l’été où petit et grand y trouverait goût.

La randonnée

La montagne été rime bien avec la randonnée, la randonnée est en effet une façon d’explorer la montagne en marchand. Que vous soyez un mordu de la nature, un sportif ou un adepte de sensations fortes, la randonnée vous permet de découvrir pleinement et calmement les meilleurs de la montagne : les chalets d’alpage, les lacs ainsi que la faune et la flore locale. Vous pouvez pratiquer la randonner en compagnie de vos enfants pour leur faire découvrir les animaux sauvages qui peuplent la montagne. Par contre, si la randonnée est trop lente pour vous, alors optez pour la balade à vélo. Descendre les pistes de ski avec un VTT est vraiment sensationnel. Les stations proposent des sentiers balisés pour tous les niveaux. La montagne est une immense piste pour la pratique de la randonnée en VTT.

Les activités praticables dans l’eau

Pour les adeptes d’activités nautiques, sachez que certains nombres de loisirs peuvent être bien pratiqués en lac ou en rivière. C’est le cas pour le « Stand up Paddle ». Généralement pratiqué en mère, il peut aussi bien pratiquer sur les lacs de montagne. L’eau est plus douce, car il n’y a pas de vent ni de vagues. C’est donc l’endroit parfait pour apprendre ce dérivé du surf. Les lacs de montagnes permettent également de pratiquer la voile. Le canyoning et rafting consistent à descendre une rivière. Destiné aux amateurs de sensations fortes aux menus : toboggan, descente, nage, glissade, etc. C’est une sorte de randonnée aquatique pour découvrir les montagnes au fil de l’eau cristalline des torrents. Qui dit rivière ou lac pense évidemment à la pêche. Sachez que la pêche n’est pas réservée qu’aux vieux. Toute la famille est invitée à pratiquer la pêche en eau douce.

La luge d’été

La luge d’été est faite pour ceux qui n’ont pas la patience d’attendre l’hiver pour goûter au plaisir de la glisse. Enfants et adultes sont séduits pour ce loisir phare de la saison estivale. Certaines stations ouvrent leur porte durant cette époque de l’année. Vous voyez, les activités à la montagne ne manquent pas en été comme en hiver. De quoi vous séduire pour y passer les prochaines vacances.

Beaucoup de gens aiment les vacances d’hiver. Vous pouvez échapper aux foules estivales qui cherchent une plage et faire l’expérience d’activités et de sites que vous ne verrez pas le reste de l’année. Des sommets enneigés aux marchés de Noël, une escapade hivernale a beaucoup à offrir. Si vous souhaitez passer des vacances sous la neige, assurez-vous d’être bien préparé.

Les éléments essentiels

Considérez la région dans laquelle vous vous rendez et les températures moyennes pour cette période de l’année. Vous pensez peut-être que votre valise doit être pleine de pulls, de chaussures imperméables et de chapeaux. Planifiez pour habiller en couches pour tirer le meilleur parti de l’espace disponible dans votre valise. Lorsque vous partez en vacances de ski, vous serez exposé à des conditions inhabituelles. Assurez-vous d’apporter une crème solaire et une autre pour le corps. Une crème hydratante et un baume à lèvres vous éviteront une sensation de sécheresse sur les pistes. Vos chaussures doivent être confortables, antidérapantes et imperméables. Si le temps le permet, envisagez des bottes de neige. Vous pouvez également investir dans des chaussettes de ski pour garder vos pieds au chaud. Assurez-vous que votre chapeau d’hiver couvre autant que possible vos oreilles et votre cou. Une écharpe et des gants pourront également être utiles.

Équipement de ski

Même s’il est tentant d’acheter de nouveaux équipements pour vos premières vacances ski, il vaut mieux les louer la première fois. De cette façon, un professionnel de la montagne peut vous aider à tout faire, et vous pouvez décider si vous aimez ou non l’activité. Presque toutes les grandes stations de ski proposent une multitude d’équipements à louer. Les équipements de ski ne sont pas bon marché. Mais si votre première expérience a réussi à vous convaincre, vous pourrez toujours acheter des chaussures, des bâtons ou une planche plus tard. Si vous envisagez de partir en excursion plusieurs fois par saison, il est plus intéressant d’avoir vos propres affaires.

Assurance voyage

Les voyages en hiver entraînent un nombre plus élevé d’annulations de vols en raison de l’aggravation des conditions météorologiques. Vérifiez que votre assurance voyage vous remboursera les pertes éventuelles au cas où votre vol serait retardé ou annulé. Assurez-vous que l’assurance couvre la région dans laquelle vous vous rendez pour vos vacances ski. Si vous participez à des activités hivernales telles que le snowboard ou le ski, vérifiez si votre assurance couvre les frais occasionnés par une blessure. Vous constaterez peut-être que certaines activités sont couvertes, telles que le traîneau à chiens ou le ski de fond. Les activités considérées comme plus dangereuses telles que la motoneige et le ski alpin peuvent nécessiter une couverture supplémentaire. Assurez-vous que toute activité que vous faites sera couverte.

Le sac à dos représente l’un des éléments incontournables de la panoplie du parfait petit randonneur. Il ne vous faut pourtant pas n’importe quel modèle de sac. La randonnée étant une discipline exigeante physiquement, il vous faut absolument choisir le bon sac pour profiter d’un maximum de confort. Pour cela, vous devez vous baser sur plusieurs critères, notamment le confort de portage, les rangements et les options spécifiques du sac.

Le volume de rangement : le critère le plus important

Lorsque vous partez en randonnée, vous allez emmener toutes sortes d’affaires. Il vous faudra donc obligatoirement investir dans un sac à dos adapté à la quantité de matériel que vous allez porter. Le volume d’un sac de randonnée s’exprime en litres. Si vous ne partez que pour un week-end, vous pouvez vous contenter d’un sac à dos de moins de 35 L. Il ne vous servira en effet à ranger que des vêtements et quelques accessoires pratiques qui vous faciliteront la vie.

Si vous prévoyez de camper en pleine nature, il vous faudra un sac plus grand qui pourra aussi contenir un sac de couchage et quelques ustensiles pour cuisiner. Si vous ne souhaitez pas acheter un sac à dos différent pour chacun de vos périples, alors vous pourrez vous orienter vers un modèle extensible.

Pour faire une randonnée dans les meilleures conditions, une bonne organisation s’impose, choisissez si possible un sac à dos comportant différents rangements. Il faut aussi que ces derniers soient faciles d’accès. Cela vous permettra d’organiser plus facilement vos affaires.

Le confort de portage : un élément clé

Pour randonner ou pour voyager, il vous faudra absolument miser sur un sac léger et qui se portera facilement. Outre le poids du sac, prêtez aussi attention sur le système de portage du modèle que vous convoitez. Actuellement, on privilégie les systèmes dotés d’armatures flexibles.

Pour éviter de trop solliciter les épaules à cause du poids du sac, il vous faut choisir un modèle disposant de bretelles pouvant se régler en hauteur, afin de l’adapter à votre silhouette.  Généralement, on part en randonnée lorsqu’il fait beau. Afin de pouvoir évacuer l’humidité plus facilement, il faut adopter un sac conçu pour ne pas se coller directement au dos, mais qui laissera un certain espace.

Les accessoires optionnels

Certains modèles de sacs à dos se dotent de plusieurs options fonctionnelles pour vous rendre la vie encore plus facile lorsque vous voyagez ou que vous partez en randonnée. Sur certains par exemple, vous pourrez trouver des housses imperméables, très pratiques lorsque vous partez dans une région pluvieuse. Celles-ci vont protéger vos affaires des infiltrations d’eau.

Vous pourrez aussi dénicher un sac à dos compact avec des sangles de serrage. Certains sont munis d’accroches extérieures pour faciliter le transport d’un matelas, d’une tente, des crampons, etc. Pour connaître les spécificités de chaque sac à dos, il est important de bien lire les fiches produit de chaque modèle.

Dès qu’il s’agit de randonnée, trouver chaussure à son pied n’est pas si facile. Effectivement, cela ne dépend pas de la couleur ni du look. On ne choisit pas également une chaussure de marche seulement parce que son amie a les mêmes paires. Sachez que sa paire de chaussures n’est pas forcément adaptée à votre morphologie et une chaussure de randonnée mal ajustée peut transformer une journée entière en chemin de croix. Le choix de modèle ne se fait pas au hasard, il est défini par le type de terrain et la forme physique du propriétaire. Pour faire le bon choix, quelques rappels s’imposent. Les critères de choix tiennent au nombre de trois : la tige, la semelle et le laçage.

La tige

La tige constitue la partie supérieure qui cache le dessus du pied. On distingue trois types de tiges : la tige haute, basse et mid. D’abord la tige haute qui remonte jusqu’aux chevilles pour l’enserrer. Elle est parfaite pour des terrains accidentés. Généralement, elle offre une protection optimale sur l’ensemble du pied et apporte une bonne stabilité. Le seul bémol : la chaussure à tige haute est particulièrement lourde. Puis la tige basse. Elle est beaucoup plus souple. Spécialement conçu pour une balade en plaine, en forêt, en pistes faciles … Pour des randonnées plus extrêmes, privilégier les chaussures plus rigides qui offrent plus de maintien à la cheville. Enfin la tige mid. C’est le compromis entre la basse et la haute. Elle est destinée à la pratique tout-terrain. Plus légère qu’une tige haute, mais plus rigide qu’une basse.

La semelle

La semelle (intermédiaire et externe) est l’élément matériel le plus important lors du choix d’une chaussure de randonnée. Effectivement, elle fait le lien entre trois mouvements : le contact direct avec le sol, l’appui et la poussée. La qualité et le confort sont les caractéristiques essentiellement d’une bonne semelle de randonnée. À la basse, elle est fabriquée à partir du caoutchouc et peut-être plus ou moins tendre. Vous devez savoir qu’une gomme plus souple est plus confortable et soulage ainsi les articulations contre les chocs. Toutefois, une semelle plus dure garantit une durabilité plus longue et plus de précision dans les zones dures et rocheuses.

Le laçage

Le laçage d’une chaussure de randonnée doit être aisé, rapide et stable. Il doit assurer le maintien du pied sans trop le compresser pour un confort absolu. Gardez bien en tête que l’assurance du pas dépend d’un laçage bien adapté. Optez pour les œillets métalliques plutôt que ceux en tissu qui sont nettement plus économiques certes, mais moins résistants. Pour les lacets, préférez-les ronds à la place les plats. En effet, ils sont plus robustes. De plus, avec les crochets auto-bloquants, le serrage sera plus homogène et se desserrer moins facilement.

Il est indispensable de correctement s’équiper lors de vos sorties en neige afin de pouvoir apprécier librement des paysages, sans avoir à endurer le froid et l’humidité. Les simples équipements de randonnée d’été ne suffisent pas pour la marche en raquette en hiver. Découvrez ici les équipements nécessaires pour faire une belle rando raquette.

Quel équipement pour la raquette à neige ?

Pour que votre randonnée en raquettes soit absolument exceptionnelle, il est recommandé de bien équiper avant de partir. Comme pour le ski, il est indispensable d’avoir une tenue vestimentaire de montagne, plusieurs couchent qui peut s’ajouter suivant les conditions météorologiques. Il ne faut pas oublier non plus d’emporter de quoi protéger votre tête, votre cou et vos mains. Les lunettes, masques, crèmes solaires et autres produits pour protéger vos lèvres sont également des équipements essentiels à ne pas négliger. Il est recommandé aussi de porter une paire de chaussure de randonnée imperméable, chaude et de préférence haute. Si vous prévoyez de partir pour une randonnée sur plusieurs heures, prévoir dans votre sac à dos de quoi vous boire, de quoi vous nourrir comme barres de céréales et de quoi chauffer. Et enfin, le plus indispensable est de bien sûr de bien choisir sa paire de raquettes.

Comment choisir ses raquettes ?

Il existe deux types de raquettes neige dont les raquettes en plastique munies de dents en acier sous le tamis et les raquettes faites d’aluminium et de plastique que les professionnels utilisent souvent. Toutes les deux raquettes à neige disposent de griffes pour prévenir des glissades et des cales pour donner un confort optimal lors des montées. Ils disposent aussi d’un système de fixation qui permette un confort. Les modèles de raquettes sont à choisir en fonction de la pratique visée, de votre poids ainsi que du type de chaussure à utiliser. Si vous pensez à faire de la randonnée sur des pistes damées, choisissez le modèle muni d’un tamis plus petit qui sera plus léger et souple, car votre besoin de portance sera moins important qu’en hors-piste dans la poudreuse. Pour un excellent maintien, préférez les modèles qui sont dotés d’un chausson en plus des lanières de serrages. Vérifiez toujours si la pointure du chausson est adaptée à votre pointure.

Les bienfaits de la randonnée raquettes

Que ce soit une randonnée en montagne encadrée par un guide professionnel ou en totale autonomie, les avantages de la raquette à neige sont nombreux. La randonnée en raquettes est, non seulement bénéfique pour votre condition physique, mais aussi pour le moral notamment si vous faites dans la neige durant une journée ensoleillée. Vous pourrez vous recharger en vitamine D.  De plus, les raquettes sont accessibles à tous et très faciles à pratiquer. Ce type de sport vous permet aussi de bénéficier des mêmes avantages sur l’amélioration et le développement de l’endurance et du système cardio-respiratoire, que n’importe quelle activité physique.

La haute saison hivernale est une saison qui met aux rendez-vous tous les passionnés aux activités de montagne ou à la course d’alpinisme (randonnée, escalade, promenade dans les montagnes, etc). Durant cette saison les montagnes deviennent des endroits de rencontre à tous ceux qui sont passionnés à ces genres des activités. Cependant, pour que les activités ou les courses d’alpinisme qu’on souhaite faire se passent bien et satisfaisant, il est nécessaire d’avoir des guides de montagne. Les guides de montagne sont des accompagnateurs aidés des passionnés des courses d’alpinisme comme les randonneurs, le skieur, etc. Un guide de montagne est un accompagnateur bien formé, il connaît tous les techniques de base qui ont relation avec les activités de montagne et organise des campagnes dont il sait les secrets. De ce fait, pourquoi faire appel à des guides de montagne ? Quels sont les missions et les rôles des guides de montagne ? Comment payer les honoraires d’un guide de montagne ?

Pourquoi faire appel à des guides de montagne ?

La montagne et ses environnements présentent des caractéristiques différentes par rapport aux endroits qu’on connaît dans la vie quotidienne, que ce soit pour le confort ou que pour la sécurité. Faire une randonnée ou une escalade ou des autres activités dans une montagne peut occasionner certains risques qu’on ne prend pas d’ordinaire. C’est pour tout cela qu’on a besoin un guide montagne pour aider et orienter durant ces activités. Pourquoi un guide de montagne ? Parce qu’un guide de montagne est un accompagnateur des passionnés aux activités de montagne. Il a suivi une formation de guide pendant quarante mois. Il connaît tous les techniques de base des courses d’alpinisme et connaît les risques que la montagne réserve à ses visiteurs.

Les missions et les rôles des guides de montagne

La première mission des guides de montagne consiste dans l’accompagnement de ses clients que ce soit des groupes ou des particuliers. Ensuite un guide de montagne a pour rôle d’assurer la sécurité de ses clients pendant les activités qui peuvent être une randonnée ou une promenade, etc.
Et enfin, les guides de montagne ont pour rôle d’enseigner à ses clients les techniques de base qui correspond aux activités qu’ils voudront les faire. Il a aussi pour mission d’encadrer la pratique des canyons à caractère vertical si le parcours s’agit des activités qui correspondent à ça.

Comment payer les honoraires des guides de montagne ?

Les honoraires des guides de montagne se modulent selon la difficulté de la course, des engagements et les nombres de pratiquants. Mais en général, pour les courses d’alpinisme, les honoraires des guides de montagne s’élèvent à 330 € par jour. Cette somme est à partager entre les participants. D’ailleurs, il y a des activités spécifiques. Pour ce cas, les honoraires d’un guide montagne dépendent de la gravité et la spécificité du parcours.

Le guide de montagne est une fonction assez intéressante pour ceux qui aiment particulièrement les montagnes et les altitudes. Or, tout le monde ne peut pas se lancer dans le métier. En effet, vous devez obtenir le diplôme adéquat suivi des conditions physiques exigées. Un guide de montagne doit obtenir un encadrement particulier afin de bien exercer son travail.

Opter pour la formation adéquate pour devenir guide de montagne

Le métier guide montagne consiste à guider des alpinistes amateurs ou des touristes dans une course en montagne ou en haute montagne. Sa mission est également d’enseigner des techniques et de partager des expériences en montagne. Il s’agit d’un métier où il est possible d’évoluer en fonction des expériences et du temps. Afin d’accéder à ce métier, vous devez recourir à une formation adaptée. Il faut ainsi obtenir le diplôme d’Etat d’alpinisme-guide de haute montagne. Avec l’avancée de la technologie, il vous est possible de choisir parmi un grand nombre de formations. Vous devez faire des recherches approfondies pour trouver la formation idéale adaptée à vos besoins.  Force est de constater qu’il est jugé crucial d’avoir de bonnes capacités physiques, morales et techniques pour se lancer dans ce métier.

Avoir pour objectif de devenir un bon guide de montagne

Le guide de haute montagne peut diriger sans problème un groupe dans la neige, sur des rochers ou sur la glace. La maitrise de la langue étrangère peut constituer un atout considérable pour le métier. Le guide de haute montagne doit également pouvoir garantir la sécurité du groupe. Pour pratiquer ce métier, vous devez à tout prix avoir de la passion pour les randonnées et les montagnes. Afin de mettre en confiance les clients, vous devez disposer d’un certain sens relationnel. Cette profession connait un essor particulier avec l’évolution du marché des loisirs. Le métier est assez différent des autres car il est assez risqué et demande de l’attention particulière. Aucune erreur n’est admise en montagne, tous les détails doivent-être respectés minutieusement.

Tout ce qu’il faut savoir concernant la formation pour devenir guide de montagne

La formation pour devenir guide de montagne est une formation typiquement sportive. Pour accéder à la formation, il vous suffit d’avoir le BEES ou Brevet d’Etat d’Educateur Sportif. La première étape consiste à obtenir le diplôme d’aspirant guide. Il faut une expérience concernant des disciplines telles que le ski, le rocher, la glace, le terrain mixte et autres. L’escalade est un sport assez rigoureux par rapport aux autres disciplines sportives. Un aspirant-guide a le droit d’exercer les mêmes fonctions qu’un accompagnateur. La différence est qu’un aspirant-guide a une fonction plus ou moins limitée par rapport à un accompagnateur. Vous obtiendrez le titre de guide après 5 ans.

Plan du site